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« C’est une classe maudite, oubliée. » Des personnages acculés à la solitude, au désespoir social et qui s’enferment dans une forme de masculinité virile : les textes d’Édouard Louis et de Franz Kafka ont beaucoup en commun. L’un évoque un père « tué » par sa condition de prolétaire, l’autre montre un primate qui « singe » les hommes pour survivre. Sans concession et avec humour parfois, la création bilingue du Escher Theater dévoile la parole rare de dominés qui veulent aimer sans le pouvoir et n’ont pas leur place dans la société. « Pour les dominants, dit Louis, la politique est une manière de se penser, une manière de voir le monde, pour nous c’était vivre ou mourir. »
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